Le réviseur d’entreprises met son expertise, son professionnalisme et ses valeurs au service des sociétés et de nombreuses autres parties prenantes telles que les investisseurs, fournisseurs, employés, banquiers et pouvoirs publics. Il crée, en travaillant en toute indépendance et dans l’intérêt général, la confiance nécessaire au bon fonctionnement du système économique. La fiabilité des informations et la confiance de l’ensemble des parties forment une condition primordiale et indispensable à la croissance et la prospérité.
Ce qui a pour conséquence que le réviseur d’entreprises ne peut exercer une activité commerciale ni, en principe, être administrateur de sociétés commerciales.
Le réviseur d’entreprises est soumis à des lois et normes de déontologie strictes, à des normes internationales d’audit, à un contrôle de qualité régulier et à une obligation de formation permanente qui assurent la qualité et constituent les exigences de son travail.
Il prête serment devant la cour d'appel et est tenu au secret professionnel. Il engage sa responsabilité́ civile, pénale et disciplinaire.
Le réviseur d’entreprises est extérieur à l'entreprise. Pour prendre ses décisions, il ne prend en compte que les considérations en rapport avec la tâche qui lui est confiée. En outre, face aux situations qui risqueraient de remettre en question son objectivité, il prend les mesures de sauvegarde nécessaires qui lui sont dictées par les dispositions auxquelles il est soumis.