5 mars 2009

Les nouvelles réglementations belge et européenne Dans le cadre de l'après-midi d’études de l’Institut des Réviseurs d’Entreprises du 4 mars 2009

La bonne gouvernance et la transparence financière dans les organisations non gouvernementales : tel est le thème de l’après-midi d’études qui a rassemblé 150 personnes ce mercredi 4 mars 2009 à Bruxelles et qui s’est déroulée en présence de Charles Michel, ministre de la Coopération au développement.  

« L’objectif de ce colloque était de renforcer la collaboration entre les ONG, les autorités belges et européennes pour la coopération au développement et l’aide humanitaire et les réviseurs d’entreprises, en vue d’améliorer la gouvernance et l’efficience dans la gestion des ONG », explique Pierre P. Berger, Président de l’IRE.

Des représentants de la Direction générale de Coopération au Développement belge (DGCD) et de la Commission européenne (Aide humanitaire et Coopération au Développement) ont présenté les nouvelles réglementations belge et européenne en la matière. Des réviseurs d’entreprises ont ensuite exposé les conséquences de cette évolution sur le contrôle révisoral des ONG. Un débat, auquel participaient également des représentants des ONG, a permis de confronter les opinions et les expériences de chacun.

« Cette après-midi d’études a contribué à mettre en lumière les pratiques de bonne gouvernance dans la gestion financière des ONG. Les récentes modifications de la réglementation ont en effet permis une plus grande transparence financière et, dès lors, renforcé le professionnalisme de la gestion des ONG », ajoute Michel De Wolf, Professeur UCL - FUNDP - ULg et Vice-Président de l’IRE.

A l’issue de cette après-midi d’études, les intervenants et participants s’accordaient à souligner l’esprit positif des débats et la réelle amélioration en matière d’efficience, qui résulte des nouvelles réglementations belge et européenne. « Une collaboration efficace entre les ONG, les autorités publiques et les réviseurs d’entreprises est bénéfique à la transparence financière et à la bonne gouvernance dans le secteur des ONG », conclut Charles Michel, ministre de la Coopération au développement, dont l’intervention a clôturé cette enrichissante après-midi d’études.

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