16 novembre 2020
Ces dernières années, le cadre juridique du secteur non-marchand a subi des changements majeurs. Il suffit de penser aux réformes du droit des entreprises et du droit de l'insolvabilité en 2018, qui qualifient désormais les associations et les fondations comme des entreprises et soumettent leur comptabilité à de nouvelles obligations. L'introduction du nouveau Code des sociétés et des associations (CSA), adopté en 2019, a également apporté des changements radicaux.
La nomination d’un commissaire (obligatoirement un réviseur d’entreprises) s’impose soit en raison de la taille de l’association ou de la fondation, soit parce que les statuts de l’association ou de la fondation le prévoient indépendamment de sa taille.
Dans ce nouveau contexte, il était grand temps de publier une brochure sur la valeur ajoutée du réviseur d’entreprises dans le secteur non-marchand. Dans cette brochure, nous illustrons la valeur ajoutée de la mission de certification du réviseur d’entreprises, en six étapes clés : de l'acceptation de la mission à la formulation de l'opinion.
Après les grandes réformes de ces dernières années, le réviseur d’entreprises s'avère une fois de plus l'expert de choix et le garant de la transparence, de la fiabilité des comptes et de la qualité des procédures financières et comptables, ainsi que du contrôle interne.
Vers la brochureJohan Christiaens (professeur UGent) et Justine Vandenbroucke (Master Bestuurskunde en Publiek Management UGent)